Nom : Edric
Race : Humain
Sexe : Masculin
Classe : Paladin
Alignement : Chaotique bon
Background et Chroniques :
Edric, allongé près d’un arbre, tête reposé laissant sa dix-neuvième année s’écouler. Un étrange messager s’approchât de lui. Ce messager tendît une lettre qu’Edric prît, reconnaissant le blason de celle-ci. Il s’empressât de l’ouvrir et commençât à la lire. Pendant qu’Edric lût cette lettre, le messager vît des larmes couler le long de ses joues. Il s’assît à ses cotés, le regardant finir sa lecture. Une fois la lecture finie, Edric levât les yeux au ciel, séchât de ses mains ses larmes. Le messager le regardât, s’excusât de lui apporter cette mauvaise nouvelle, puis il lui demandât que si il voulait s’exprimer ou parler de son passé pour apaiser sa douleur, il était la… c’est alors qu’Edric prît la parole.
(*Regardant la rivière s’écouler*)
Mon enfance est une enfance plutôt normale, avec des chagrins et des plaisirs. Je suis né sur l’île parlante dans une maison entourée d’arbres non loin du port où j’y ai même grandi. Mes parents étaient tout deux des Humains qualifiés, et maniaient tout deux des armes.
Mon père, Rin, était un paladin, il s‘avait aussi bien se servir de son bouclier que de son épée. Il n’était pas très connu, mais cela ne l’intéressait pas. Pour lui la seule chose qui comptait c’était de rendre heureux les deux plus belles choses qu’il avait: « ma mère, et puis moi » . (*respire profondément*)
Ma mère, Myu, n’était pas assez forte et aussi habile avec ses deux mains pour ce servir d’un bouclier et d’une lame en même temps, déjà qu’une, elle avait beaucoup de mal c’est d’ailleurs pour cela que ma mère s’entraînait à la dague et en avait une excellente maîtrise. Elle s’occupait dû mieux qu’elle le pouvait de moi, quoiqu’elle fasse, elle le fît avec le plus beau sourire possible. Ce fut une bonne mère (*lève les yeux au ciel, le sourire aux lèvres*) (*respire un bon coups puis regarde de nouveau devant lui*)
Elle est morte quand j’allais sur ma onzième année. Lors d’une de ses missions elle est tombée en embuscade et n’a pas survécu ainsi que son groupe. Je ne vous le cache pas, mais des larmes non cessées de glisser le long de mes joues quand mon père eut à me l‘annoncer. Il portait la dague de ma mère dans l’une de ses mains, facile à reconnaître grâce aux signe tribal et aux initiales qu'elle avait dessus. Il avait ses genoux posés au sol, puis son autre main sur mon épaule. (*serre les dents*)
Je m’en rappel comme si c’était hier, je n’avais pas dormis pendant trois nuits, et je ne mangeais à peine…
Mon père a donc dû continuer de m’élever seule, avec un grand sourire mais une grande peine dans son cœur. Il gardait le sourire devant moi mais au fond son visage n’était pas aussi joyeux qu’auparavant. Il me fit lire quelques livres qui figuraient dans la petite bibliothèque que nous possédions. Beaucoup de livre parlaient d’honneur et de fierté... Il m’apprit par la suite à me servir d’une épée se rappelant des leçons qu'on lui avait donné. Une fois apprit le maniement de cette arme, il m’apprit à me servir d‘un bouclier, autant pour me protéger que pour attaquer. Il m’apprit aussi à chasser, du moins il essayait tant bien que mal, faut croire que je ne devais pas être fait pour la chasse. Il m’a fait découvrir tellement de choses. (*un petit sourire s’exprime sur son visage*)
Je crois que ce qui ma le plus marqué ce sont les baignades que nous faisions lui et moi après une dure journée ou après un entraînement plutôt difficile. Je pense que ces baignades étaient la pour qu’il soit d’avantage avec moi, et pour que je ne pense plus au fait que ma mère nous avait quittés. (*lève de nouveau les yeux au ciel*)
J’ai toujours été de nature timide, mon père ma toujours dit que cette timidité devait venir de ma mère qui l’était aussi, c’est d’ailleurs pour cela qu’il m'étais et met toujours aussi difficile de parler avec certaines personnes, surtout avec les demoiselles. Je n’en ai pas vraiment connu pendant mon enfance, je dirais même pas du tout, je passais mon temps à lire, chasser et à m’entraîner avec mon père, donc pour moi les seules personnes que je croisais c’était celles qui figuraient dans les livres que je parcourais.
Enfin, voila où j’en suis maintenant, prés d’un arbre, tenant dans l’une de mes mains cette lettre, m’annonçant avec grande peine la mort de … (*baisse la tête, des larmes remplissent ses yeux*) Je savais qu’il n’aurait pas dû accepter cette mission, je lui avait bien dis que c’était risqué, mais il n’a rien voulu savoir et il m’avais persuadé que tout ce passerait bien, et qu’il reviendrait assez vite…(* serre de nouveau les dents, puis respire profondément pour se ressaisir un peu*)
Le messager regardât le ciel, puis se levât. Il était temps pour lui de retourné au travail, satisfait d’avoir pût entendre l’histoire d’Edric et de lui avoir permît de s’exprimer. Il le saluât, lui disant juste au même moment de ne pas perdre espoir et de continuer à vivre en repensant à eux et en se disant qu’ils ne sont pas loin juste près de lui (*lui montrant du doigt son cœur*). Le messager fît demi-tour, et reprît sa route d’un air triste, dure pour lui de devoir apporté de telles messages.
Quelques instants plus tard, Edric se relevât le sourire aux lèvres repensant aux dernières phrases du messager. Il déposât la lettre dans son sac, puis à son tour il reprît chemin vers sa maison. Il ouvrît la porte, entrât, et au loin une voix, sa voix que nous pussions entendre: « Des Elfes Bruns hein ? » puis fermât la porte.
[HRP] Il y aura une suite ! mais en attendant cela devrait suffire ! Ah et je m'excuse d'avance pour les fautes de conjugaisons et d'orthographes. [/HRP]
Sujet: L'histoire d'Edric 
Lun 20 Avr - 15:56
